On est heureux … mais on nous le cache !
En cette période troublée il est parfois difficile d’adhérer à ce propos pourtant le Club des Optimistes, dont je suis avec intérêt les publications régulières, le répète.
D’ailleurs rappelez-vous la conférence brillante de Philippe GABILLET à la maison des ESME il y a déjà presque 3 ans, il nous avait expliqué avec enthousiasme pourquoi Il fallait être optimiste pour avoir de la chance (voir le résumé de cette conférence et le lien vers une de ses vidéos ici). Depuis je ne peux oublier cette citation de Kundera qu’il nous avait énoncé « je préfère vivre en optimiste et me tromper que de vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d’avoir raison ».
Il me semble opportun, en ces jours où nous nous préparons à une période de fêtes ou que nous terminerons par des vœux chaleureux à tous ceux de notre écosystème, personnel ou amical, professionnel ou de voisinage, de vous inviter à lire et relire ce texte d’un optimisme raisonné et rédigé par un expert de la question (RV).
Pour le spécialiste mondial du bonheur, Ruut Veenhoven, nous irions de mieux en mieux. Même en France, lanterne rouge de l’optimisme en Europe, les conditions de notre bien-être ne seraient pas celles que nous croyons.
Comment va l’humanité ? De mal en pis, cela va de soi. Depuis que l’idée de progrès et les grandes idéologies collectives ne sont plus que de lointains souvenirs, c’est la réponse qui nous vient spontanément aux lèvres. Tel n’est pourtant pas l’avis du professeur Ruut Veenhoven. Depuis plus de trois décennies, avec son équipe, à l’université Erasmus de Rotterdam, ce sociologue compile les travaux scientifiques sur le bonheur. Il scrute les baromètres nationaux et internationaux, et diligente sa propre enquête, fondée sur des entretiens de terrain, dans plus de 130 pays.
Spécialiste reconnu de l’approche empirique du bonheur, il est convaincu que notre espèce n’a jamais eu meilleur moral. « Depuis les années 1970, les nations occidentales cherchent à évaluer la satisfaction de leurs citoyens, leur moral. Sur une échelle de 1 à 10, on demande à chacun à quel point il est, ou non, satisfait de l’existence qu’il mène. On a ainsi découvert qu’une large majorité de gens se déclare heureuse, et le niveau moyen de réponses positives est en augmentation à travers le monde. »
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