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La revue de presse de Primaveras : le mois de décembre

Employabilité

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09/12/2023

C'était vendredi dernier à CentraleSupelec, Asma Fondatrice de Primaveras qui est aussi enseignante-chercheuse à CentraleSupelec, s'est adressé à un public intéressé par la question du choix.)
Car en effet choisir est difficile !
Choisir est difficile, surtout quand il s’agit de choix inabordables par des formules mathématiques.
Combien d’étudiants a-t-elle entendu dire qu’ils essaient de bâtir des équations pour optimiser leurs choix de carrière. Ces choix quand ils sont obscurs sont souvent le signe d’une confusion sur ce qui nous anime comme envies et aspirations.
De l’autre côté, choisir est difficile parce que nous devons nous insérer dans un monde réel et que ce monde a ses lois qu’ils nous faut prendre en compte. Autrement, nous ne pouvons nous intégrer dans la société par un travail reconnu, décent et source de satisfaction pour ceux qui en récoltent les fruits.

Alors, entre envies individuelles et obligations sociales, comment faire nos choix ? Comment orienter nos vies quand les sciences de l’ingénieur, ou la science en général reconnue officiellement comme valable, n’ont que très peu de clés à nous fournir ?
C’est à cet enjeu qu'Asma s’intéresse dans ses recherches: montrer que la science inspire nos choix, non par des recettes à appliquer mais par une posture à cultiver. Cet apprentissage de la posture scientifique est en soi un prérequis pour garder un œil ouvert sur le monde quand l’autre est tourné vers soi.

Comment traduire donc nos aspirations en actes et nos actes en projets cohérents avec les fondements d’une société vertueuse ? Quand nos choix sont inspirés par la cohérence, nos actes sont fondateurs d’un équilibre collectif global et vertueux.
C'est de cela qu'Asma et son auditoire ont parlé vendredi pour inspirer chacun un sens à donner à son travail et à sa réalité.

La question de l'autonomie des cadres est un sujet majeur dans leur engagement professionnel, mais souvent abordé sous le seul angle de l'organisation personnelle.

C'est donc ce que l'article de Courrier Cadres de Stéphanie Condis veut souligner ici : le télétravail n'est qu'une forme d'organisation du temps et du lieu de travail. En vérité, ce qui donne de l'autonomie, c'est le contenu de la mission, l'étendue des responsabilités, le degré de liberté accordé aux postes occupés par ceux qui se disent "autonomes".

   

Notre rapport au travail est en crise. Or, le travail reste et va rester central pour l’individu, notre modèle social et les défis productifs qui nous font face. Un diagnostic complet et objectif de cette crise doit précéder la définition d’une vision et de caps précis.

La présente note identifie d’abord les points de tension exprimés par les actifs avant de les rapprocher des tendances structurelles qu’a connues le monde du travail depuis 30 ans et qui pourraient perdurer : affaiblissement à certains égards de son caractère rémunérateur ; accélération et intensification de l’activité ; augmentation de certaines pénibilités psychologiques et physiques ; polarisation des tâches et automatisation de certaines d’entre elles.

 

87% des Français envisagent un changement de métier, mais seulement 28% passent à l’action (IFOP). 37% d'entre eux envisageraient même de se reconvertir vers un métier manuel (OpinionWay) !

La reconversion est une réalité incontournable du monde du travail : Comment expliquer ce phénomène ? Quelles sont les solutions concrètes pour l'accompagner au mieux ?

Lors du dernier Cercle de l'Engagement, nous avons eu le privilège d'échanger avec des experts dans le domaine de la reconversion professionnelle : Fabienne Broucaret, Laurent Polet, Benoit Campargue et Aurélien Rothstein. Tous ayant vécu des reconversions et travaillant actuellement sur des projets uniques.

Découvrez dans cet article les points clés et les principales leçons que nous avons tirés de leurs expériences.

 

Pour dépasser le malaise naissant de prises de conscience isolées, le collectif d’ingénieurs de l’aéronautique toulousains Icare s’est initié en 2020 pour réfléchir à l’avenir de leur secteur écologiquement insoutenable. Ces questionnements ont débouché sur plusieurs initiatives, dont l’expérimentation de la poly-activité qu’ils partagent dans ce texte.

Devant un monde du travail qui produit une perte de sens tout en restant figé dans une course à la productivité, ce collectif démontre que la poly-activité, qui permettrait d’articuler leur travail d’ingénieur à une activité maraîchère, se présente comme une piste sérieuse pour participer à la nécessaire mutation de notre économie, tout en retrouvant une connexion avec son environnement terrestre.

Pour tout savoir sur Primaveras, découvrez les témoignages de nos anciens élèves.
Envie de rencontrer l'équipe, de poser vos questions sur les programmes ? Réservez un appel à l'équipe juste ici !

 

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