Le 19 septembre, les rencontres parlementaires de l'Assemblée Nationale, auxquelles l'AIESME est invitée, faisaient le point.
Les députés les plus concernés, les spécialistes les plus pointus, entre autres Jean-Marc DANIEL, le polytechnicien bien connu, et bien d'autres faisaient le constat que l'économie n'existera plus désormais que si elle a du sens.
Les acteurs économiques, financiers et industriels ont désormais l'obligation de se glisser dans une économie sociale et solidaire.
Ce n'est plus un choix, c'est une condition de survie !
Le "French Impact" sur ce plan est devenu une référence mondiale.
En effet, la France est en train de passer d'une économie capitaliste d'état à une économie concurrentielle populaire.
Exemples : SNCF vs Blablacar, Taxis parisiens vs Uber, Crédit Lyonnais vs Crédit coopératif
Cette révolution est sous-tendue par les nouvelles technologies mais également par l'acceptation par la majorité des Français d'une mise en concurrence de type commercial jusqu'à l'échelon élémentaire.
En conséquence, les futures entreprises ne survivront que si elles respectent trois règles élémentaires :
- Utilité sociale décrite, déclarée et vérifiée
- Lucrativité raisonnée et raisonnable des salaires à tous niveaux
- Fonctionnement démocratique et participatif
Un constat : les décideurs politiques français actuels ont complètement pris en compte ce nouveau cadre, pour le moins contraignant.
Et pour ce qui concerne le métier d'ingénieur : il doit continuer à précéder ce mouvement de fond !
Notre école, l'ESME Sudria, est, depuis longtemps, en pointe sur cette mutation notamment dans le domaine médical, l'aide au handicap, le monde numérique raisonné, le big data comme outil de surveillance des transactions financières ou la création d'entreprise.
Nous sommes sur la bonne voie !
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